Sunday, November 1, 2009

Les travailleurs prennent position contre les accusations portées contre les membres de Syndic




Union des travailleurs de bus de Téhéran a publié une déclaration condamnant les charges par lequel les ouvriers de Haft Tappeh ont été condamnés à des peines de prison, et a demandé leur libération immédiate.


La déclaration par le Syndicat des chauffeurs de bus de Téhéran, explique qu'à la suite de la démonstration du travail des travailleurs de la Compagnie Haft Tappeh de canne à sucre, en 2007 pour les retards des salaires - de leurs droits de travail de base - certains ont été arrêtés et après des interrogatoires répétés, ont été libérés sous caution avec le soutien d’un groupe indépendant. Lors de la première audience, le tribunal a condamné ces personnes à un an d'emprisonnement, avec six mois de sursis.


Les militants du travail de la Compagnie Haft Tappeh ont été émises ces jugements, tandis que il y avais un retard de 3 mois sur leurs salaires, alors qu'ils ont acquis les heures supplémentaires et ont été privés de leurs droits et les avantages de base de leur métier.
Au cours des dernières années, le mouvement ouvrier d'Iran a payé un prix très lourd pour améliorer les conditions de travail de ses membres. Beaucoup de travailleurs ont été incapables de payer leur loyer et certains ont vécu en dessous du seuil de pauvreté, ont du passer de longues périodes de temps derrière les barreaux juste pour obtenir leurs droits les plus fondamentaux en tant que travailleur.

Les actions de militants syndicaux ont rencontré des menaces quotidiennes, le chômage et l'emprisonnement. Toutefois, cela ne les a jamais empêchés d'exprimer leurs préoccupations. Ainsi, nous sommes sûr que cela n’empêchera pas, aujourd’hui, ni les militants syndicaux des Haft Tappeh de protester pour leurs droits et ni le Syndicat des travailleurs de bus de Téhéran , à ménager aucun efforts pour atteindre et assurer les libertés de mouvement syndical, ces représentants et des droits.
En plus de verdict de condamnation de la cour, ils exigent la révocation immédiate de tous les travailleurs détenus, y compris, Ibrahim Madadi, Mansour Isalou, Farzad Kamangar, et Mehdi Farahi-Shandiz. En outre, ils prévoient l'abrogation de comparutions devant le tribunal, des militants syndicaux, détenus en garde à vue depuis la Journée internationale du travail.



Les membres du conseil d'administration de travail des travailleurs de la Compagnie Haft Tappeh de canne à sucre, sont sur le point de se faire congédier et font face à l'incarcération possible. Sur la base de rapports récents de la Compagnie Haft Tappeh, les menaces et les pressions exercées par l'agence de renseignement de Shoosh au sein du conseil d'administration et des militants syndicaux de cette association a augmenté. Selon les déclarations publiées par les défenseurs des droits et des associations démocratiques en Iran, quatre membres du conseil d'administration de Syndicat de Haft Tappeh, Fereidoun Nikou-Fard, Jalil Ahmadi, Ramezan Alipour et Mohammad Heidari-Mehr ont été interdits d'entrer dans la construction de la société. Les gardes de sécurité de la Compagnie Haft Tappeh, administrée par l’agence de renseignement de la ville de Shoosh, chargé de réprimer les travailleurs de soulèvement, interdit leur entrée. Les quatre ont récemment été condamnés à six mois d'emprisonnement et de six mois de suspension. M. Heidari-Mehr a été condamné à quatre mois de prison et huit mois avec sursis.





M. Ali Nejati, chef du conseil d'administration de Syndicat des travailleur de Haft Tappeh, était licencié de son emploi et interdit de pénétrer dans les locaux il y a quelque temps. Il a été privé de son salaire et ses avantages professionnels depuis plus de six mois, en dépit de soumettre une plainte concernant le licenciement illégal et inhumain de son travail. Le bureau de blâme les longues et consécutif absences de M. Nejati, même s'il était sous la garde du ministère du Renseignement.
Davoudi, qui est responsable de la sécurité de la société, a doublé le nombre de gardes de sécurité de 50 à 100. Ces gardes occupent les espaces communs de l'entreprise, rapportant instantanément tous les repérages des rassemblements. Aussi, pour éviter les grèves et les protestations potentielles contre la suppression et la violation des droits fondamentaux du travail, ils ont introduit des informateurs parmi les travailleurs, créant ainsi la méfiance, le pessimisme et un environnement anormal. Madadi, le président de la société, est largement responsable de la supervision de ces mesures de répression sur les ouvriers du travail.



Des rapports cite aussi la rage et la frustrations des travailleurs exprimée à la suite de l'arrestation et l'interdiction des membres de leur conseil d'administration. Ils ont annoncé et mis en garde les protestations et les grèves à venir en cas de refus de libérer ces personnes, en exigeant la libération immédiate et inconditionnelle de tous les travailleurs en garde-à-vue. En outre, ils exigent le retour de M. Nejati à son poste et le paiement total de son salaire impayé. Ils ont également demandé des excuses publiques et officielles devant les travailleurs, envers le président de la société à M. Nejati et d'autres membres du conseil d'administration. Enfin et surtout ils exigent le retrait de Davoudi, Chef de la sécurité de la Compagnie Haft Tappeh.


Pour l’instant, les travailleurs n'ont pas encore reçu leur salaire des deux derniers mois. Par ailleurs, leurs horaires ont été réduits, presque coupée, pour ceux qui crée des pressions financières énormes.
Les droits de l’homme et militants de la démocratie en Iran condamnent les verdicts de prison lourdes, le licenciement et l’empêchement des présences de travailleurs militante dans leur lieu de travail et d'appeler l'Organisation internationale du Travail (OIT) et l'Union internationale des travailleurs (IUW) pour soutenir les membres le Syndicat des travailleurs de Haft Tappeh qui sont membres de cette organisation.
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